15 février : Le "Pas du Chêne", réouverture du sentier de visite de la rigole du Clos Laperrière

Publié le par ARHYME

Nous travaillons aujourd'hui près du pont du chemin du Trou aux Gants, là où un chêne s'est abattu sur le sentier (voir article précédent), en travers de la rigole du Clos Laperrière.
Notre arrivée et le stationnement sont très mouvementés : d'énormes engins de chantier travaillent sur la zone de parking, mais nous arrivons à trouver une place sure pour chacune de nos voitures (nous sommes 11).
Il y a de l'arrachage de ronces à faire autour de la rigole et sur ses berges, puis Silvère démarre la tronçonneuse.

Silvère et ses assistants : Aurélie, Alain et André, entreprennent de sectionner partiellement le tronc, déjà fendu, au niveau du sentier. La partie du tronc contre le sol est conservée. Après de multiples manipulations pour sortir chaque tronçon coupé, le passage est dégagé, il reste un pas à franchir pour surmonter ce qui était un obstacle.Silvère et ses assistants : Aurélie, Alain et André, entreprennent de sectionner partiellement le tronc, déjà fendu, au niveau du sentier. La partie du tronc contre le sol est conservée. Après de multiples manipulations pour sortir chaque tronçon coupé, le passage est dégagé, il reste un pas à franchir pour surmonter ce qui était un obstacle.Silvère et ses assistants : Aurélie, Alain et André, entreprennent de sectionner partiellement le tronc, déjà fendu, au niveau du sentier. La partie du tronc contre le sol est conservée. Après de multiples manipulations pour sortir chaque tronçon coupé, le passage est dégagé, il reste un pas à franchir pour surmonter ce qui était un obstacle.
Silvère et ses assistants : Aurélie, Alain et André, entreprennent de sectionner partiellement le tronc, déjà fendu, au niveau du sentier. La partie du tronc contre le sol est conservée. Après de multiples manipulations pour sortir chaque tronçon coupé, le passage est dégagé, il reste un pas à franchir pour surmonter ce qui était un obstacle.

Silvère et ses assistants : Aurélie, Alain et André, entreprennent de sectionner partiellement le tronc, déjà fendu, au niveau du sentier. La partie du tronc contre le sol est conservée. Après de multiples manipulations pour sortir chaque tronçon coupé, le passage est dégagé, il reste un pas à franchir pour surmonter ce qui était un obstacle.

Voici donc le "Pas du chêne" réalisé, vu depuis l'aval et depuis l'amont (avec un petit tremplin pour les VTT) : le sentier est redevenu carrossable.Voici donc le "Pas du chêne" réalisé, vu depuis l'aval et depuis l'amont (avec un petit tremplin pour les VTT) : le sentier est redevenu carrossable.

Voici donc le "Pas du chêne" réalisé, vu depuis l'aval et depuis l'amont (avec un petit tremplin pour les VTT) : le sentier est redevenu carrossable.

Ce premier travail terminé, retour vers le pont n°2, où une petite collation, préparée par Sandra, va permettre de reprendre des forces pour la suite de la séance de débroussaillage, le long de la rigole encore gelée.Ce premier travail terminé, retour vers le pont n°2, où une petite collation, préparée par Sandra, va permettre de reprendre des forces pour la suite de la séance de débroussaillage, le long de la rigole encore gelée.

Ce premier travail terminé, retour vers le pont n°2, où une petite collation, préparée par Sandra, va permettre de reprendre des forces pour la suite de la séance de débroussaillage, le long de la rigole encore gelée.