En décembre 2020, début du défrichage de la rigole de la Fausse Porte. La suite, en mars 2021.

Publié le par ARHYME

Le dalot de la Fausse Porte dégagé par Michel Schneider. Il a 7 mètres de profondeur, ou plutôt de largeur car c'est un pont dont l'autre rive (amont) a disparu sous un vaste remblai, comme le montre le croquis ci-dessous, réalisé par Gérard.

Le dalot de la Fausse Porte dégagé par Michel Schneider. Il a 7 mètres de profondeur, ou plutôt de largeur car c'est un pont dont l'autre rive (amont) a disparu sous un vaste remblai, comme le montre le croquis ci-dessous, réalisé par Gérard.

Sous le dessin en coupe du pont, la photo prise de l'intérieur par Gérard montre la voute plein cintre en pierres meulières et la couche de dépôts accumulés sur le fond.
Sous le dessin en coupe du pont, la photo prise de l'intérieur par Gérard montre la voute plein cintre en pierres meulières et la couche de dépôts accumulés sur le fond.

Sous le dessin en coupe du pont, la photo prise de l'intérieur par Gérard montre la voute plein cintre en pierres meulières et la couche de dépôts accumulés sur le fond.

La rigole débute au pied du Carrefour de la Fausse Porte, au niveau de l'allée du Cordon de Vélizy. En bordure du plateau de Vélizy, elle se dirige vers le Trou au Gant à l'ouest.
Le long de la rigole, sur la rive côté nord, un sentier a été créé par les promeneurs (surtout des VTT). Ce sentier sera intégré dans les circuits de visite du réseau hydraulique partant de Vélizy (du Babillard).
Cette rigole, sur les plans anciens, continuait, après le Trou aux Gants, vers le Domaine du château de Chaville et l'étang d'Ursine, comme le montre le plan ci-dessous complété par Jean R-G.

La rigole, en pointillés bleus, part du Dalot de la Fausse Porte (à gauche du plan, en rouge).

La rigole, en pointillés bleus, part du Dalot de la Fausse Porte (à gauche du plan, en rouge).

Notre terrain de jeu actuel est une large et profonde rigole, complètement envahie par des arbustes, des arbres aux troncs qui ont poussé très haut vers la lumière. Des débris de branchages ou d'arbres morts sont tombés en travers depuis longtemps.
Des ronces, sur les rives et les bordures de la rigole, s'accrochent sur les arbustes et les arbres comme des lianes, rendant la progression très difficile. Il faut les arracher avant de pouvoir dégager tout ce qui encombre la rigole et les arbres que Silvère a tronçonnés et découpés.

Le travail de défrichage est difficile ! Le chemin est rendu complètement boueux et glissant. Nous avons avancé sur 200 m environ.Le travail de défrichage est difficile ! Le chemin est rendu complètement boueux et glissant. Nous avons avancé sur 200 m environ.
Le travail de défrichage est difficile ! Le chemin est rendu complètement boueux et glissant. Nous avons avancé sur 200 m environ.Le travail de défrichage est difficile ! Le chemin est rendu complètement boueux et glissant. Nous avons avancé sur 200 m environ.

Le travail de défrichage est difficile ! Le chemin est rendu complètement boueux et glissant. Nous avons avancé sur 200 m environ.

Nous reprendrons le dégagement de cette magnifique rigole lorsque les conditions seront plus favorables.

C'est aujourd'hui mercredi 3 mars 2021 que nous reprenons ce travail :
Les conditions sont favorables, il fait beau, le temps et les chemins sont secs.
Nous sommes 5 : André, Claude, Jean R-B., Silvère et Pierre et nous aurons la visite de Gérard en fin de séance.

Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..
Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..

Quelques photos de la séance, prises par Claude (il n'apparait pas sur les photos). On voit Gérard sur la dernière photo..

Nous avons progressé d'environ 70 m, dégageant les arbustes (souvent très longs) tronçonnés par Silvère dans la rigole et arrachant des ronces toujours aussi robustes et bien pourvues en épines ravageuses pour les mains (même à travers de gros gants en cuir).