Débroussaillage 2023, mois de janvier

Les vœux de Silvère

Arhymiennes, Arhymiens, bonsoir,

En ces dernières heures de 2022, je tiens à vous présenter mes voeux pour la nouvelle année :
Je vous souhaite pour 2023, une bonne année vitaminée et pétillante.
Je vous souhaite une santé de fer, … surtout les lundis matin mais pas que...
Je vous souhaite des ronces à n’en plus finir et l’envie furieuse de les arracher une à une.
Je vous souhaite la volonté et la force pour le retrait des branches et des feuilles,
Je vous souhaite la passion pour l’utilisation des râteaux, des sécateurs et autres outils.
Je vous souhaite de résister à l’enlisement dans la boue des rigoles.
Je vous souhaite de ne jamais renoncer à la recherche de nouvelles rigoles ou autres aqueducs liés à notre patrimoine.
Je vous souhaite de prendre le temps d’écouter les chants d’oiseaux et d’admirer la faune.
Je vous souhaite que réussite et joie s’installent en votre demeure et vous comble de 1000 bonheurs.
Enfin je vous souhaite surtout d’être vous, fier(e) de l’être et comblé(e), car le bonheur est notre destin véritable.

Que l’année 2023 soit un chemin de splendeur pour notre ARHYME.

A leur tour, les débroussailleuses et débroussailleurs ARHYME souhaitent à leurs lecteurs une année 2023 de bonheur !

Pour le démarrage de 2023, le 9 janvier, nous avons terminé de dégager la rigole de la Fausse Porte, au-dessus de l'étang du Trou aux Gants. Puis, le 23  nous avons fait un passage sur le site de l'aqueduc du Croisement pour dégager toutes les branches laissées par les bûcherons, dans et au voisinage des rigoles et des sentiers de visite. Nous avions annulé la séance du 16 janvier pour cause d'avis de coup de vent. Enfin, le 30, nous sommes allés défricher la partie inexplorée en amont de la rigole du Clos Laperrière, juste au-dessus de Versailles.

Le 9 janvier, nous étions 20, presque un record, par un petit vent froid.

Nous prenons le chemin qui passe sur le pont de la Cavalière du Cordon de Vélizy. Puis arrivés sur la rigole, les gestes de débroussailleurs sont vite retrouvés et le bout de la rigole (avant l'étang du Trou aux Gants) approche.

Au moment de la pause café, une surprise, Jean-Pierre arrive avec une galette des rois et de belles bulles pour arroser la nouvelle année. Il est accompagné d'Evelyne, son épouse, et de Jean Ménard.
Et, une autre galette a été offerte par Karine et Christine.

La deuxième mi-temps se fait dans la joie, après une telle pause et le chantier se termine. Tout le monde reprend le sentier, Reïka ferme la marche. Nous laissons une belle rigole qui resplendit au soleil d'hiver.

Le 16 janvier, la tempête appelée officiellement "Gérard", nous a contraints à renoncer. La deuxième séance de l'année a donc eu lieu le lundi 23 janvier, avec 21 participants, sur le site de l'aqueduc du Croisement.

Il s'agit de dégager la rigole "technique", le sentier de visite et les abords de la rigole, de tous les branchages qui sont restés après la coupe récente, dans les parcelles 38 et 39, en particulier. Nous voulons redonner un bel aspect à ce qui est le coeur du réseau hydraulique.

Le chantier s'étire du pont de la Fosse Renault, jusqu'à la sortie de l'aqueduc de la Grange Dame Rose, ou presque. Tellement bien que la sirène de brume utilisée par Sandra pour annoncer la pause café n'a pas réussi à alerter tout son monde.

En final la rigole "technique" est "remise à neuf", tandis que certains contemplent les vestiges du chantiers des bûcherons employés par l'ONF.

Le lundi 30 janvier, nous nous retrouvons, rue de Bretagne à Vélizy, à l'extrémité ouest du plateau de Vélizy-Meudon et de la rigole (amont) du Clos Laperrière. Nous allons poursuivre le dégagement d'une belle rigole découverte par Claude et Sandra. Nous  avions commencé à la dégager au cours de 3 séances en mai 2022.

Les 16 acteurs du jour prennent leurs outils avant d'aller sur la rigole

Le dégagement apparait assez facile au début. Il n'y a pas de ronces à arracher, mais une rigole encombrée de branches et morceaux de troncs d'arbres. De part et d'autre, il y a d'anciens trous de bombes qui sont tombées pendant la dernière guerre. Nous sommes en effet à l'extrémité de la piste d'envol de la base aérienne de Vélizy-Villacoublay, comme nous l'a expliqué Sandra.

Beaucoup d'arbres à tronçonner, des branchages enchevêtrés.

Il reste du travail pour les prochaines séances, nous allons revenir.