Débroussaillages 2023, mois de mars
Le lundi 6 mars, nous avons poursuivi le travail de la semaine précédente dans la rigole des Dames, mais aussi la rigole de l'Homme vers le lac Noir.
Comme l'écrit Sandra, nous n'étions pas trop de 15 pour cette tâche dans les rigoles de la parcelle 39.
"Des rigoles toujours en manque d'eau, ce qui facilite leur mise en beauté, mais qui confirme un dérèglement climatique en route ! Où sont passées les giboulées de mars de notre enfance qui nous obligeaient à de belles cavalcades pour se mettre à l'abri en attendant l'éclaircie suivante !"
Suivant les techniques, le fond de rigole devient noir comme de l'humus (méthode Jean-Claude), reste en feuilles ou se mélange aux couleurs du sous-bois.
Le 13 mars, nous étions 22 débroussailleurs et 2 visiteurs : Jean Ménard et la pluie :
"Bienvenue à toi si fine pluie que les arbres sans feuilles ont laissé effleurer le sol !
Bienvenue à vous si désirées gouttelettes tant attendues pour accueillir le printemps !
Bienvenue à vous passionnés Arhymiens et Arhymiennes en ce lundi 13 mars alors que cette pluie plus que fine vient de cesser."
"En ce début de séance, Jean M. est venu nous partager quelques lignes d'un ouvrage historique issu de sa bibliothèque personnelle. "Meudon Bellevue et Chaville" ouvrage écrit par le vicomte Emmanuel-Henri Grouchy (1839-1911) fait référence dans l'un de ses chapitres à l'existence du réseau hydraulique. On observe tout en portant une écoute studieuse à la lecture faite, que ledit ouvrage a été très largement "pos-ité" et annoté au crayon de bois (noble outil de travail) de la main de Jean en personne mettant ainsi en évidence quelques questionnements. De fait et d'un commun accord entre les auditeurs présents, quelques informations sont à vérifier fort de la connaissance terrain déjà acquises et des convictions que les explorateurs Arhymiens et Arhymiennes se sont forgées."
Malgré la pluie, ce sont les sourires, surtout quand la corne d'appel à la pause-café est actionnée par Sandra !
Le 20 mars, nous étions 17, toujours aussi actifs dans les rigoles de la parcelle 39.
En fin de séance, une nouvelle visiteuse, "Maud la taupe qui amuse la galerie". Silvère la tient dans sa main gantée.
Une coccinelle est apparue, écrit Sandra, elle avait ... points :
" La plus connue est la coccinelle à sept points (par commodité pour ma part je la nomme la Marie-Noëlle 😉). La coccinelle à deux points intervient surtout sur les arbres, au verger, elle nettoie de leurs nuisibles les arbres fruitiers, et elle agit aussi au jardin d'ornement au-delà de 2,50 m de hauteur. Peut-être avez-vous déjà observé dans notre jardin la coccinelle jaune à quatorze points, elle s'active au potager principalement..."
A défaut de photo de la coccinelle, voici des champignons et des débroussailleurs. Monique, d'un bon pas, vient nous rendre visite.
La vue se dégage dans les rigoles de la parcelle 39, les feuilles verdissent sur les arbres. Il y aura encore une séance, le 17 avril, pour terminer le toilettage de la rigole de l'Homme. C'est elle qui relie le lac Noir à la rigole des Dames dont l'eau coule dans la canalisation de fonte qui passe sous la route Royale et fait la jonction avec la Rigole Technique.